Samedi dernier c'était la 5ème séance de dentelle aux fuseaux, avec les profs. La dentelle a donc quelque peu avancée mais pas autant que je le pensais : c'est que les motifs sont de plus en plus travaillés et donc demandent de plus en plus de temps pour les faire. Ca prouve finalement que je progresse ;-).

Lors de mon article précédent sur ce sujet, je vous montrais le motif de la coquille, en cours. Avant de me pointer à la séance de samedi, j'avais disons fait mes devoirs ;-) : ce motif était donc terminé.

10ème carton (18 fuseaux - 2 couleurs de fils) : une petite dentelle à base de coquilles

Arrivée sur place, j'ai donc pu me mettre immédiatement sur le motif suivant ... qui est celui-ci : bien sûr, il y avait quelques fuseaux à remonter ;-) ... et comme vous pouvez le voir, je n'ai pas eu le temps de le finir.

Mais on ne voit pas le motif, allez-vous me dire ...  : mais si, le voilà de plus près ...

11ème carton (20 fuseaux - 2 couleurs de fils) : 2 beaux zigzags verts (appelé pieds) et une belle corde de 4 (blanche) qui se croisent ==> apprentissage du croisement de 6 fuseaux

Espérant bien finir ce motif tranquillement chez moi (surtout que je risque de ne pas pouvoir aller à la séance suivante), j'ai demandé la prochaine "leçon" et voilà ce qui m'attend. Pour celui-ci on continue le croisement de 6 fuseaux, mais cette fois-ci, allégé : le meneur du pied change de direction ==> je n'utiliserai donc qu'une couleur de fils.

P.S. - hors-sujet : j'aurai pu être en mesure de vous montrer très prochainement ma couverture en patch entièrement cousue, pour la partie du dessus ... malheureusement, à 2 doigts d'avoir terminé, je viens de m'apercevoir que je me suis complètement trompée (dimensions et sens du tissu) pour les morceaux (triangles) formant les bords ==> GRRRRRRR, il ne reste donc plus qu'à redéfaire et recouper mes triangles. C'est ça de prendre confiance en soi et de ne pas avoir vérifier sur le bouquin :-[ : comme quoi chaque étape avait sa p'tite particularité. Le principal, heureusement, c'est qu'il me reste du tissu. Faire et défaire c'est toujours travailler.